les éditions gare au théâtre

THÉÂTRE

l’èbre (espagne)

16 ET 17 MAI 2008 À GARE AU THÉÂTRE
24 ET 25 MAI 2008 AU FESTIVAL DE L’OH!

proposé dans le cadre de “petites comédies de l’eau”

dans le cadre du festival de l’oh!

Des petites comédies douces et amères, à consommer sans modération.

Entrée libre !

Écrit par : Angels Aymar, Manuel Molins, Fransisco Leonarte, Jaime Pujol

Mise en scène : Mustapha Aouar

Compagnie : Cie de la Gare

Interprété par : Vladislav Galard, Fernanda Do campo, Amaya Lainez , Victor Costa

les 16 et 17 mai à Gare au Théâtre à 20h30
et les 24 et 25 mai à l’Escale de Joinville du Festival de l’Oh, toute la journée

 

À l’origine du projet, une commande de texte faites à des auteurs espagnols, des textes courts, incisifs et drôles. Au final : des petites pièces courtes (10 minutes maximum) avec pour toile de fond les problématiques liées à la gestion de l’eau.

 

Après l’Algérie, l’Amazone, le Maghreb et le Saint-Laurent au Québec, la compagnie de la Gare poursuit sont voyage le long des fleuves du monde. Cette année l’Espagne et l’Ebre sont à l’honneur.

Alors venez vite découvrir l’histoire d’une nymphe sortie des eaux, d’une laitue asséchée par un terrain de golfe ou comment Noé réclama à Dieu un nouveau Déluge !

 

Co-production : Festival de l’Oh – Conseil Général du 94
Remerciement : Irène Sadowska

Les textes seront publiés aux Editions de la Gare.

 

ANGELS AYMAR

Chevelure d’eau : Un homme et une jeune fille accoudés à la rambarde d’une péniche naviguant le long de l’Ebre. Entre passé et présent, ils entament un dialogue étrange et mystérieux où le surnaturel fait son apparition.

D’eaux à dos : Un couple en crise dans le Delta de l’Ebre. Elle aime la ville, le bruit, l’agitation. Il lui parle d’oiseaux migrateurs, du fleuve ancestral et rêve en secret à une mystérieuse nymphe sortie des eaux.

Traduction de Adeline Flaun

 

MANUEL MOLINS

Noé : Noé, rescapé du déluge, invoque Dieu et lui demande de faire venir la pluie. Ce dernier lui explique un peu gêné que ce n’est malheureusement pas en son pouvoir : ils sont sur une propriété privée…

Appuyer sur la touche 13 : Un Orang-outan, médecin de son état, appelle d’une cabine téléphonique, la hotline divine : il veut parler à Dieu, ses patients meurent de soif. C’est sans compter le pointillisme bureaucratique de l’angélique standardiste.

Traduction de André Delmas

 

FRANCISCO LEONARTE

De utilitatis aquae : A et B sont sur une chaise. A a de l’eau, B non. A boit, se lave, joue. B a soif...

Laitue : A, B et un verre d’eau. Tous deux en ont besoin. Qui l’emportera ? La truite ou la laitue ? Le parcours de golf ou la centrale nucléaire ?

 

JAIME PUJOL

Plongée : Ou comment un magicien cherche à disparaître dans un verre remplie d’eau de l’Ebre avec une jeune femme qu’il a connue sans pour autant s’en souvenir…

La décompression de l’incompréhension : deux hommes marchent sur une route. L’un porte des bidons d’eau, l’autre est dans l’eau… Littéralement dedans malgré son apparente situation terrestre. Il y développe une inquiétante addiction.